Des études scientifiques assez poussées nous ont conduits à réviser notre position sur les acides gras, dans l'hypothèse d'un apport nutritionnel équilibré et adapté aux besoins physiologiques de chacun. Il ne faudrait pas que, comme aux États-Unis, la réduction de la part des acides gras se solde par un accroissement de celle des glucides. Il faut donc trouver le juste équilibre. Diaboliser un élément n'a pas de sens : nous avons besoin de certains acides gras, qu'on trouve dans les poissons ou des produits laitiers.