Il y en a. Nous avons transmis les résultats de cet énorme travail au niveau communautaire, où sont regroupées toutes ces évaluations et recensées les allégations.
En second lieu, nous avons évalué la pertinence de l'aliment vecteur utilisé : ainsi, introduire de la vitamine C dans une sucette n'est pas forcément ce qu'on peut faire de mieux !
Nous avons également cherché à mesurer la conformité de ces produits aux besoins physiologiques de la population française. Pour nous, à de nombreux égards, il n'existe pas de carences. Tout au plus peut-on constater des besoins de supplémentation : en folates chez les femmes en âge de procréer, en fer chez les jeunes filles,…
Enfin, nous nous sommes intéressés à la compréhension que les consommateurs pouvaient avoir de ces affirmations.
Tout ce travail devrait aider à « faire le ménage » dans ces allégations proliférantes.