Il me semble en effet que, sans envisager la suppression d'un échelon administratif, puis en faisant en sorte qu'un même élu siège dans deux assemblées, la réforme est condamnée à rester au milieu du gué.
Jean Arthuis, ce matin, posait la bonne question : le conseil général deviendra t-il un établissement public de déconcentration des services de l'État ou demeurera-t-il une collectivité territoriale à part entière ?