En matière de gouvernance, il ne faut pas se tromper de cible. La réussite d'un projet tient à l'adhésion qu'il peut susciter. C'est aux redondances qu'il faut s'attaquer, non pas à la démocratie ou à la participation.
D'autre part, les élus étudiants doivent se voir assurer de bonnes conditions d'exercice de leur mandat : d'une part, ce sont eux les premiers concernés et les plus nombreux ; d'autre part, comme nous les députés, ils sont amenés à travailler dans de nombreuses commissions et structures. Aussi proposons-nous qu'ils bénéficient d'un nombre raisonnable d'élus : quatre ou six.