Avec nos partenaires européens, sommes-nous plutôt dans une logique d'émulation et de concurrence, ou dans une logique de répartition intelligente des grands domaines de recherche ?
Toujours dans le domaine international, comment faire en sorte que notre haut niveau de recherche en agronomie tropicale produise davantage d'effets concrets ? Ainsi, le Cirad est présent dans l'île d'Espiritu Santo, au Vanuatu, mais il faudrait répondre aux sollicitations du ministre de l'éducation, qui réclame de l'aide pour développer la formation opérationnelle. Autre exemple, qui concerne cette fois l'Outre-mer : à l'occasion du cyclone qui a rasé les constructions sur l'île de Futuna, nous avons découvert qu'il n'y avait pas du tout de réserves d'eau potable… Il faudrait y remédier.