Notre projet de maison commune des régimes de retraite vise à établir un socle de droits commun. Dans cette perspective, ce n'est pas le mode de calcul qui compte, mais le résultat en termes de taux de remplacement. Ce que nous défendons, c'est le droit au départ à soixante ans avec un taux de remplacement de 75 %. Tous les salariés doivent se le voir garantir, quel que soit le mode de calcul. L'opposition entre public et privé est un faux débat, qui vise à diviser les salariés.