En 2003, le Conseil supérieur de l'audiovisuel a commandé une étude, réalisée d'ailleurs par l'École nationale supérieure des télécommunications de Paris, qui corrobore cette critique. Or, malgré les demandes répétées du CSA aux chaînes pour le changement de ces pratiques, rien n'évolue.
Alors on joue de la télécommande : on baisse puis on augmente le son. Cet état de fait est exaspérant et peut même générer des problématiques comportementales ! Même le décret n° 92-280 du 27 mars 1992 n'y a rien fait.
Je propose donc que nous légiférions pour améliorer l'environnement sonore de nos concitoyens au quotidien, en faisant en sorte que les chaînes de télévision respectent un volume sonore égal entre les programmes et les écrans publicitaires.