Je constate que vous soutenez les orientations prises, monsieur Peiro, et je vous en remercie. Nous ne sommes pas dans le cadre d'un contentieux ni au titre de la directive Nitrates ni au titre de la directive-cadre sur l'eau puisque nous sommes en deçà des normes – nous sommes à 26 milligrammes quand les directives sont à 50.
Nous allons développer la méthanisation, le plan le prévoit, mais il ne s'agit pas de dire que nous avons toujours eu tort jusqu'à présent, que tout ce qui était fait était mal. Nous allons changer les pratiques agricoles. Il faut regarder vers l'avenir et pas rester tournés vers le passé.
Ce qui a profondément changé, c'est que, après la reconnaissance du caractère toxique de ces algues, l'État a reconnu sa responsabilité.