Évidemment, c'est plus facile d'accepter un rapport. Pour siéger dans cette assemblée depuis vingt-quatre ans, je sais ce qu'il advient des rapports adoptés tardivement : la plupart du temps on ne les voit pas, et ils ne font pas avancer les choses.
L'amendement n° 946 propose de s'occuper dès à présent de la pharmacopée des territoires ultramarins. Sa rédaction pourrait être améliorée au cours des deux lectures, mais l'adopter permettrait d'avancer dans une direction que M. Poignant trouve d'ailleurs très bonne. Les mesures qu'il préconise sont toujours mieux qu'un rapport ! Un rapport, ça ne mange pas de pain, mais nous sommes là pour essayer de faire avancer les choses.