Madame la ministre, j'entends bien que vous ouvrez la possibilité d'exister pour des syndicats d'assainissement non collectif, mais abondance de biens ne nuit pas !
Les multinationales de l'eau ne sont pas devenues ce qu'elles sont en se comportant en philanthropes ! Permettre aux personnes concernées – cinq millions tout de même, mais évidemment des gens qui sont sur des écarts, dans des hameaux, dans des zones parfois difficiles d'accès – de disposer d'une structure pour mutualiser la connaissance, l'expérience, les moyens, pour se regrouper et travailler au sein des sociétés coopératives d'intérêt collectif, me paraît un élément de choix supplémentaire, à côté des initiatives communales ou intercommunales qui, certes, peuvent exister – mais ce n'est pas nouveau.
(L'amendement n° 1183 n'est pas adopté.)