Madame la secrétaire d'État, je vous sais gré d'avoir bien sérié les problèmes.
Cela étant, à chaque fois qu'il est question des produits naturels dans un texte, on n'avance jamais d'un pouce. Résultat : ceux qui diffusent ces produits – en particulier pour l'agriculture biologique – sont dans l'illégalité permanente. Ce n'est pas possible !
Pourquoi demandons-nous un scrutin public sur cet amendement ? Parce que vous n'avez pas accepté l'amendement précédent qui proposait l'ajout du mot « de synthèse ».