Je suis rentré chez moi avec le document, que j'ai essayé d'amender. Il aurait fallu le réécrire. Or je disposais, en tout et pour tout, de vingt-quatre heures.
Après une nuit d'insomnie, j'ai téléphoné à mon collègue et ami Jean-Paul Chanteguet, qui m'a donné son aval pour démissionner.