Je vous entends bien, madame Labrette-Ménager ; si certains départements sont très riches, d'autres le sont moins moins, et c'est souvent dans ces derniers que la biodiversité est la plus intéressante. Il faut donc rapporter la qualité de leur patrimoine naturel aux moyens dont ils disposent.
Le problème que pose la préservation de la biodiversité, c'est la valeur qu'on lui accorde. Or, aujourd'hui, la nature n'a pas de prix. Voilà pourquoi il serait bon que le Gouvernement remette un rapport au Parlement, comme le propose l'amendement.
En effet, nous créons la trame verte et bleue, mais sans savoir comment elle sera financée. Pourtant, elle aura nécessairement un coût : pour mieux préserver la nature, il faudra bien trouver des financements.
(L'amendement n° 1113 n'est pas adopté.)