Vous mêlez, madame la ministre, trois sujets différents : les fusions d'université, les PRES et les RTRA.
Le classement de Shanghai a amené les universités à s'interroger sur leur rang international. Un grand nombre de présidents d'université ont estimé que leurs structures étaient trop petites, tant aux plans national qu'international. Cela les a conduits à souhaiter des formes de collaboration, de rapprochement, voire de fusion.
Le groupe socialiste est favorable à l'amendement de M. Goasguen. Mais il me semble que, jusqu'à présent, les universités qui le souhaitaient pouvaient fusionner.