Sentant venir le coup, nous avons pris des mesures en faveur du développement de l'éolien, notamment dans le cadre de l'éco-parc de Blanquefort, dans la Gironde, et nous sommes en pourparlers en vue d'une usine de petites pales pour éoliennes de trente mètres. Dans le contexte actuel, cette installation risque d'être remise en question. Il y avait également un deuxième projet, axé sur la fabrication de grandes pales ; actuellement, la société qui le conduit émet toutes les réserves sur son développement.
Sont donc menacés 1 600 emplois d'un côté, 300 de l'autre : avez-vous évalué l'ampleur de la casse industrielle et sociale ? On nous parle de débouchés industriels, mais, dans la réalité, les projets ne décollent pas. C'est contradictoire – à moins que vous ne nous donniez une confirmation formelle quant à l'usine de Blanquefort. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)