Je crois en effet que soit on considère que la DAMB est nécessaire pour notre dissuasion, et il faut prévoir, dans le cadre d'une stratégie nationale, des ressources budgétaires complémentaires pour la financer – qui pourraient être de l'ordre de 5 % de l'enveloppe actuelle consacrée à ce secteur –, soit on estime qu'elle constitue un système d'armes classique pour des théâtres d'opérations extérieures, et il convient de prévoir une participation éventuelle à un programme international, sans en faire une question essentielle.