Pour répondre à l'interprétation malicieuse, sinon maligne, que certains collègues ont faite du mot « fade », et pour éviter que le débat ne dégénère, je précise que moi aussi j'aime la France et que, lectrice de Charles Péguy, je la trouve belle, ce qui n'a rien de surprenant pour une élue de la Nation. Cela étant précisé, je reprends à mon compte les adjectifs « général » et « générique » employés par M. Grosperrin.