Je conclus, si vous le voulez bien, monsieur le député.
Nos concitoyens vivent dans une ville, ils travaillent quinze kilomètres plus loin, ils utilisent des moyens de transport qui traversent évidemment plusieurs autres villes. C'est comme cela que, de plus en plus, nos territoires s'organisent.
Si nous disposons aujourd'hui de PLU intercommunaux dans les grandes agglomérations et dans les communautés urbaines, c'est bien parce que c'est à l'échelle du bassin de vie que doit s'organiser l'ensemble de l'urbanisme.
Je voudrais terminer sur un point très important, qui vient d'être évoqué par François Grosdidier. Sans lui faire offense, il me semble qu'il confond le SCOT et le PLU.