Je ne dérape pas et j'ai en mémoire les motifs donnés à la tribune de l'Assemblée nationale par un certain responsable du Gouvernement, devenu Président de la République, pour justifier son hostilité à l'entrée de la Turquie dans l'Union européenne ! (« Et alors ? » sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire.) Il s'agissait alors de flatter la partie la plus conservatrice de votre opinion. Je vous vois sourire, monsieur le rapporteur.