Lorsque je me suis rangé à titre personnel aux arguments de M. le secrétaire d'État, ce n'est pas sans regret, je le dis très clairement.
Je le répète et j'y insiste : j'ai bien tenu à faire la distinction entre la position de la commission, qui était aussi la mienne, et le fait que je me range à des arguments liés aux grandes contraintes qui pèsent sur l'ensemble des finances publiques.
Je tiens à ce que cette distinction soit reconnue, car je m'efforce, par principe, de ne pas mélanger les positions personnelles et les positions collectives.