Cela signifie, parallèlement, que nous devons réorganiser la manière dont est gérée l'immigration légale : il faut rééquilibrer les composantes de l'immigration vers notre pays. Il n'est pas acceptable que l'immigration soit aujourd'hui très majoritairement familiale et très minoritairement économique. Songeons que, en 2005, 92 000 cartes de séjour ont été délivrées au titre de l'immigration familiale et seulement 11 000 au titre de l'immigration pour motifs professionnels.