La troisième raison, c'est que la capacité d'accueil de notre pays est limitée. Qui peut le nier ? Je ne vais pas refaire le total des constructions sous les différents gouvernements − nous avons eu ce débat sous la précédente législature −, mais la réalité est très simple. Pendant toute une période, on a moins construit, notamment de logements sociaux : c'était entre 1997 et 2002. (« Absolument ! » sur les bancs du groupe de l'Union pour un mouvement populaire. − Protestations sur les bancs du groupe socialiste, radical, citoyen et divers gauche et du groupe de la Gauche démocrate et républicaine.)