La politique de régularisation massive mise en oeuvre par le gouvernement précédent – et après tout, on pouvait se poser la question de cette nécessité de régularisation massive – avait échoué parce qu'elle avait provoqué un vigoureux appel d'air. Les demandes d'asile avaient quadruplé en cinq ans, passant de 20 000 en 1997 à 82 000 en 2002.