Monsieur le secrétaire d'État, je constate votre gêne et votre embarras. Certes, vous avez raison quand vous dites qu'un accord est intervenu entre le président de la chambre de commerce de Paris et M. Bernardin, président de la chambre de Versailles et de l'ACFCI. Néanmoins j'ai bien noté que vous avez aussi précisé que cet accord était « délicat ». Je mesure tout ce qu'il y a derrière un tel mot. On a bien compris en effet toute la délicatesse de cet accord ! (Sourires.) De plus, je rappelle que celui-ci n'a concerné ni l'Essonne ni la Seine-et-Marne, ce qui explique cet amendement.
Je maintiens mon amendement, monsieur le secrétaire d'État, parce que je me dois de le faire, mais j'espère que le délai d'ici à la lecture au Sénat et à la navette sera l'occasion de remettre autour de la table l'ensemble des partenaires des chambres de commerce de la région Île-de-France de façon à parvenir à un accord réel, conforme et qui convienne à tout le monde, un accord qui ne soit pas délicat. Il faut essayer de mettre le temps à profit pour cela. Pour le moment, je le répète, je maintiens mon amendement.