…au président de la commission des affaires économiques, Patrick Ollier, artisan de ce compromis auquel nous avons pris une part décisive sur une question qui nous tient à coeur depuis 2003, et de faire confiance à Mme la ministre. Nous donnons du crédit à sa parole qui a résonné fortement dans cet hémicycle et je me permets de la citer : « aujourd'hui, nous ne discutons plus de l'opportunité de ce répertoire, elle est acquise, nous discutons de sa mise en oeuvre ».
Mais, pour nous centristes, fidèles à la devise de la Banque de France, « la confiance n'exclut pas le contrôle ».