En 2003, les crédits ont en effet été répartis, mais de façon subjective : la précarité, la pauvreté et la situation du bâti dans les quartiers messins n'ont pas été suffisamment prises en compte.
Comme vous le savez, madame la secrétaire d'État, à l'époque, le maire actuel de Metz était conseiller général du quartier, mais il n'avait pas la même couleur politique que le maire d'alors, de sorte que la répartition a favorisé Woippy au détriment de Metz. Je souhaite vivement que cette injustice soit réparée au plus vite : tout le monde a droit à cette reconnaissance de la précarité et du délabrement du bâti.