Je vous remercie de votre souhait ! Si vous pouviez en parler à vos amis de Rueil, vous contribueriez à m'y aider ; ce serait bien ! (Sourires.)
Je reviens à mon propos. Lors de l'échange des consentements, des informations sont données. Ce n'est pas seulement l'heure du romantisme et de l'amour, c'est aussi le moment où l'on avertit des risques. Il n'y a pas de tiers mentionnés aux articles 220, 272 et 275, madame la ministre, ni à l'article 371-1 – si ce n'est les enfants, car cet article traite dans les moindres détails de la manière dont les enfants doivent être éduqués, que ce soit sur le plan du partage des responsabilités financières ou sur celui des risques de dérives. Je ne serai pas franchement contrarié, en tant que maire, d'avoir à lire un article de plus, si je sais que j'éviterai au couple, en le faisant, de connaître des drames pouvant conduire au divorce, voire pire ! Même si cela ne se produit qu'une fois, nous aurons déjà gagné un combat !
C'est pourquoi je soutiens l'amendement de M. Diard. Je souhaiterais, en conséquence, madame la ministre, que vous vous en remettiez à notre sagesse – car nous devons faire preuve de sagesse sur ce point.