Oui, des marges de manoeuvre résident dans l'amélioration des organisations. Le rapport de Mme Ruellan en 2008 était à cet égard très éclairant. Par exemple, pour 5 000 actes d'anesthésie, le taux d'infirmières anesthésistes passe de quatre à trente-quatre, c'est-à-dire que des infirmières anesthésistes peuvent ne pas effectuer un acte tous les deux jours quand d'autres en effectuent plus de cinq.