Je veux en revanche revenir sur le principe même de la pénibilité que vous évoquez.
Vous abordez les uns et les autres les contraintes psychosociales inhérentes à certains postes de travail. Je connais bien entendu ces contraintes. J'ai d'ailleurs, dès mon arrivée au ministère de la santé, engagé de nouveaux contrats d'amélioration des conditions de travail, et, dans la circulaire de mise en oeuvre, j'insiste sur une meilleure prise en compte des contraintes psychosociales, liées au rythme de travail par exemple, dans les organisations de travail. Je soutiens ces progrès, notamment grâce à des accompagnements financiers.
Un métier, une activité, n'est pas pénible en tant que tel.