Pourtant, il n'y a pas lieu de le faire, et je vais tenter de vous le montrer en répondant collectivement aux intervenants, majorité et opposition confondues, en adoptant du reste le ton empreint de courtoisie et de modération qui aura caractérisé cette soirée – à une ou deux exceptions près.
Commençons par rappeler quelques idées générales, mais essentielles. À entendre Mme Fraysse, M. Braouezec ou M. Terrasse, la majorité et le Gouvernement auraient tendance à maltraiter la fonction publique, comme s'il y avait d'un côté ceux qui apprécient la fonction publique et de l'autre ceux qui ne l'apprécient pas.