C'est stupéfiant ! Je propose un amendement de bienveillance et les avis sont défavorables. Mais là, avec notre collègue Gaudron, il s'agit de la bienveillance orientée. (Sourires.)
Madame la ministre, je ne sais si vous avez déjà eu l'occasion, à l'ombre du donjon, de vous promener, à vélo ou à pied, dans les rues de Vincennes. Que voit-on ? Je vous le donne en mille ! Sur les plaques des rues figurent les noms de personnes au-dessous desquels il est indiqué comme qualité : « propriétaire foncier ». Comme si c'était une vertu !
Notre collègue Gaudron limite les possibilités qui sont données pour favoriser les propriétaires plutôt que les locataires en difficulté, même si je ne nie pas que, parfois, des petits propriétaires ne sont guère plus riches que les locataires. Mais ce n'est pas une raison pour augmenter la pression sur les personnes surendettées.
(L'amendement n° 192 est adopté.)