Il s'agit, d'une certaine manière, d'un amendement d'appel. Nous sommes tellement harcelés par des publicités agressives, tant dans nos boîtes aux lettres électroniques qu'au téléphone, qu'il paraît indispensable de calmer le jeu.
Reconnaissant néanmoins la violence, si je puis dire, de ma rédaction, je me rallie avec plaisir à l'amendement, plus pratique, de notre collègue Tardy et retire donc le mien.
(L'amendement n° 314 est retiré.)