Nous pourrons ainsi échanger avec les commissions parlementaires, avec l'ensemble des parlementaires, de droite et de gauche, avec les partenaires sociaux, que je recevrai dès cet après-midi, et, évidemment, avec l'ensemble des Français qui voudront nous donner leur opinion sur l'avenir des retraites.
Le Président de la République l'a rappelé ce matin, nous ne voulons pas passer en force. Nous aurions pu, mais ce n'est pas le choix du Gouvernement : nous voulons discuter et dialoguer.