Madame la secrétaire d'État, vous nous avez dit, à juste raison, que ces problèmes se régleraient au plan continental. Mais nous n'attendons pas de solutions de la Commission européenne. Il faut donc une volonté politique au plan national. Si, en 1998, nous avions attendu que l'Europe tout entière se décide à prendre les mesures nécessaires pour lutter contre le dopage, nous en serions toujours au même point.