Mes chers collègues, il y a dix ans, Michel Crépeau nous quittait. Sa disparition, nous nous en souvenons tous, survint quelques jours après un malaise qui eut lieu ici même, dans cet hémicycle, où sa voix avait tant de fois résonné tout au long de ses vingt-deux années de mandat.
Je tenais à rendre hommage au grand parlementaire que fut Michel Crépeau. (Mmes et MM. les députés et les membres du Gouvernement se lèvent et observent une minute de silence.)