Je comprends tout à fait les objectifs de l'amendement présenté par Mme Brunel.
L'ancien code pénal réprimait de peines contraventionnelles le fait pour un ministre du culte de célébrer un mariage religieux qui n'avait pas été précédé d'un mariage civil. En cas de récidive, les faits devenaient un délit, en cas de deuxième récidive, un crime.