Enfin, vous avez évoqué un reportage du journal de vingt heures qui, selon vous, critiquait notre loi. Cela nous renvoie au texte précédent sur l'audiovisuel public, où vous vous étiez acharné à démontrer que nous cherchions à avoir la mainmise sur le journal télévisé de France 2 : preuve est faite que ce n'est pas le cas et que la liberté demeure ! Il est dommage pour vous qu'il n'en soit pas de même au parti socialiste, où j'ai cru comprendre que Manuel Valls n'avait plus la liberté de s'exprimer. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)