Les résultats du sommet des ministres européens des finances consacré à la crise financière qui frappe la Grèce ont déçu de nombreux observateurs, ses conclusions se réduisant à l'injonction faite aux Grecs de redoubler d'efforts. Une telle prudence est-elle une tactique face aux attaques spéculatives, ou bien l'indice d'un défaut de solidarité européenne ?
Ma deuxième question s'adresse à l'éminent spécialiste du Proche-Orient que vous êtes aussi. Face au blocage désespérant de la situation dans cette région du monde, avez-vous fait le choix du pessimisme de la raison ou celui de l'optimisme de la volonté, et sur quel fondement ?