Mon général, j'adhère totalement à votre remarque sur le soutien de l'opinion publique et la judiciarisation, car nos adversaires ont connaissance de notre situation et savent en tirer les conséquences.
Par ailleurs – et je tiens à le souligner car cette évolution a eu lieu pendant que vous étiez aux responsabilités –, en Afghanistan, les alliés, en particulier les Américains, nous regardent désormais comme des frères d'armes.
Les moyens que nous mettons en oeuvre pour former les officiers et les hommes de l'armée nationale afghane sont-ils adaptés ? Avons-nous eu raison de procéder au déploiement de 150 gendarmes ?