Que m'auriez-vous dit, monsieur Bocquet, si nous avions laissé fermer brutalement la raffinerie des Flandres ? Tel n'est pas le cas. La raffinerie ne fermera pas tant que nous n'aurons pas de réelles solutions de substitution pour les salariés. Nous allons veiller en même temps à ce que l'emploi salarié des sous-traitants soit maintenu, et à ce que l'activité sur la plate-forme logistique du port de Dunkerque soit soutenue. Oui, monsieur Bocquet : la fermeté du Gouvernement est au rendez-vous ! (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)