C'est extraordinairement personnalisé, et c'est le contraire de ce que l'on attend du législateur. Nous ne sommes pas dans un journal télévisé ou dans une revue à grand tirage. On ne parle pas d'une victime en donnant son nom, son prénom, les circonstances de son assassinat ou du traitement terrible qu'elle a subi pour présenter ensuite un amendement. C'est extraordinairement préoccupant par rapport à notre conception du travail parlementaire.