Nous n'allons pas revenir sur l'époque bénie où nous trouvions des terrains d'entente sur ces questions au conseil régional alors que nous disposions d'une majorité relative. Je le rappelle, ce n'était pas parce que M. Karoutchi ou M. Goujon faisaient pression mais parce que le vice-président chargé des questions de sécurité, M. Julien Dray – je n'étais que le modeste vice-président chargé des finances – a su, parmi les premiers, pointer du doigt la montée de la violence, notamment le phénomène des bandes. La région Île-de-France a ainsi été pionnière en ce domaine et le reste.