M. Henri Emmanuelli et plusieurs autres collègues m'ont interpellé au sujet de la situation de la Grèce, mais aussi du Portugal et de l'Espagne. Sans doute la ministre de l'économie répondra-t-elle à des questions d'actualité cet après-midi. Je vous propose que nous organisions son audition au début de la semaine prochaine afin de faire le point sur les échanges en cours au niveau européen et sur les initiatives que peut prendre la France.
Cette crise, qui ne se réglera pas en quelques jours, constitue un test de la volonté européenne. Il est important que nous prenions notre part dans cette actualité.