Quand on lit l'alinéa 31 de la proposition de résolution, qui prévoit de « demander à ce que la Commission européenne puisse confier à l'Institut européen pour l'égalité entre les hommes et les femmes la réalisation d'une étude visant à analyser et à répertorier les dispositions législatives et réglementaires des États membres les plus élevées et les plus progressistes à l'égard des femmes », cela revient à prendre une position et inciter les instances européennes à faire de même. J'invite mes collègues à ne pas aller dans ce sens.