La différence réside aussi dans le fait que la politique du chiffre qui est la vôtre, celle de la « performance », pour reprendre le terme de M. le ministre il y a un instant, désorganise la police, ne lui donne pas des objectifs concrets. Nous, nous vous opposons des propositions concrètes, et ce sera notre position tout au long de ce débat.
Oui à la vidéosurveillance, mais à condition qu'elle soit utilisée sous le contrôle des maires et qu'il s'agisse d'un outil, pas uniquement d'un but.