J'affirme, pour conclure, que nous avons besoin, particulièrement dans mon département de Seine-Saint-Denis, d'une présence humaine plus nombreuse et plus encore dans les quartiers populaires qu'ailleurs, d'une présence humaine de proximité, de quartier, de territoire – appelez-la comme vous le souhaitez –, d'une présence humaine plus nombreuse permettant de rassurer, de dissuader, qui redonne confiance et qui sanctionne.
C'est tout cela que nous avions soutenu dans la démarche de Mme Michèle Alliot-Marie lorsqu'elle avait annoncé la mise en place des UTEQ. C'est ce à quoi nous étions attentifs lorsque l'on nous a parlé de la généralisation des unités territoriales de quartiers au cours de l'année passée. C'est ce que nous ne voyons pas venir dans la réalité quotidienne que nous vivons. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)