Et ce n'est pas le fruit du hasard. C'est dû, d'abord, à la forte mobilisation – et je tiens à les en remercier – de la police et de la gendarmerie. (Mêmes mouvements.) Cela tient aussi à l'arsenal législatif dont nous nous sommes progressivement dotés afin de tenir compte de l'évolution de la délinquance.