Je tiens d'abord à saluer l'impulsion qui a été donnée par la France au processus qui a abouti à Copenhague et, plus particulièrement, monsieur le ministre d'État, votre implication sans relâche. Le gaulliste que je suis a été fier de voir que la France était présente sur la scène internationale et qu'elle s'y comportait avec efficacité et panache.
Je remarque ensuite, que, contrairement à ce qui a pu être dit ici ou là, l'Union européenne est restée assez soudée, à l'initiative du Président de la République, et qu'elle n'a pas été isolée.
Par ailleurs, je relève que le système onusien a, en l'occurrence, montré ses limites voire son inadaptation à une négociation de grande ampleur.