Votre proposition de créer une carte « Musique en ligne » et de la faire payer 20 ou 25 euros aux internautes, le reste du montant étant pris en charge par l'État – ce qui représente environ 25 millions d'euros par an, payés par le contribuable – soulève deux questions : premièrement, le développement des sites internet commerciaux ne devrait-il pas ressortir de la seule responsabilité de ceux qui en tirent bénéfice ? Deuxièmement, ne pensez-vous pas qu'il puisse paraître choquant que le contribuable finance une entreprise qui, pour culturelle qu'elle soit, n'en est pas moins commerciale ?