L'idée est de trouver dans la coopération décentralisée, qui marche très bien dans nombre de nos collectivités locales, un gisement opportun pour le service civique. On peut le dire, c'est vraisemblablement le secteur de l'aide au développement qui connaît l'évaporation la moindre et où l'appropriation des projets par les bénéficiaires comme par les promoteurs est la meilleure. Nous jugeons donc important de préconiser la coopération décentralisée comme un champ du service civique.
(L'amendement n° 25 , accepté par la commission et le Gouvernement, tel qu'il vient d'être rectifié, est adopté.)